Deux incroyants, les mains couvertes de poussière et d’amertume
Deux incroyants à l’aube d’un jour glorieux aux désirs de fortune
Deux incroyants, aveuglés par l’abîme de rêves sans limite
Deux incroyants venus voler la communion qui nous habite
Aujourd’hui, l’une voit ses rêves sublimés dans sa chair
L’autre hésite, sur le seuil, se tord et désespère
Dans les nuits aux rêves enchaînés les astres sont propices
Révèlent la félicité au-delà du précipice
Abandonne-toi, meurtrier et pécheur, au doux parfum d’éternité
Bienvenue dans mon royaume, palais des rêves enchaînés